Les travaux de Sandrine HENRI et Bernard MALISSEN, chercheurs de l’Inserm, du CNRS et d’Aix Marseille Université regroupés au sein du Centre d’Immunologie de Marseille-Luminy (CIML) ont découvert que, si un tatouage peut être éternel, ce n’est pas le cas des cellules de la peau porteuses de son pigment. Celles-ci transmettent ce pigment à de nouvelles cellules lorsqu’elles meurent. Agir sur ce processus pourrait améliorer les techniques d'effacement actuelles réalisées par laser. Cette étude est publiée le 6 mars 2018 dans le Journal of Experimental Medicine.  Baranska A. et al., J Exp Med., , PMID: 29511065

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